Mais j'agréé et te dis, chapel bas l’ami,
Voilà comment montrer à des âmes bien nées,
Que les vers peuvent tuer, ou bien enfelonnés,
Des êtres vils, sans esprit, sans cœur, sans talent
Que dis-je, des forains, qui s’en vont de l’avant.
Des escuyers maniant mieux flood, qu’allumelle,
Ne devraient écrire, et pourpenser pour elle,
Juste quelques vers mutins, et même coquins,
En espérant: voyons, d’obtenir leur mains ;
Je te dis viens compère, allons vider des verres
Mais gardons de finir le derrière à terre ;
Sinon, escuyers riront, sans connaître la raison
De recevoir au le nez, un vigoureux horion.
C'est quand tu veux pour le verre,
au plus tard à Teruel en regardant tristement ménestrel – parce tous nous voulons être en place d’église à la place de l’élu et non point spectateurs
(il n'existe pas de féminin à ménestrel) nouer nœud et serments,
Devant Grand Inqui imperturbable et présent
Bénir union sacrée entre ces deux enfants.
Tu chasses la poésie, elle revient au galop





et que nos courriers arrivent.
Message perso pour Michel, et à la Bathala seras-tu là ????
, soit il a compris qu'il y a des timbres neufs dans les enveloppes et il les garde
