Charles Clément dit le Fourbe a dit :Bande d'incultes et de barbares sans moi les mots Agonir, et décrépissance, n'auraient pas vu le jour,
quand aux fautes d'orthographe, d'accord, ou de conjugaison, elle vont de
pair avec le texte puisque de
toute façon j'écris tout d'un seul jet et je [ne]repasse pas des heures pour voir si tout
dedant tiens debout .
Mais
déja je vois que le doigt crochu et vérolé de la critique tente, une fois de plus, de me faire choir du glorieux
piedestal d'airain que je me suis taillé . Sachez que je tiens ferme sur le roc, et ce ne sont ni les corvées de café, ni les lazzi, ni les quolibets d'une foule de
belîtres goguenards, jalousant mon succès et mes nombreux talents d'Hugo en herbe et de Villon en fleur, qui me feront tomber dans la honte et le mépris de moi même . Oui vieillards (
exepté ce bon GI qui vient de fêter ses 25 ans à tout casser, en tout cas je lui en donne 22) scellés dans vos
carcants d'écriture lasse, bavant et
annonant des mots d'une pauvreté
intelectuel à en faire mourir de chagrin Zola, pour tenter de les
faires correller les uns avec les autres, tentant vaille que vaille de faire ce que vous
appeller phrases, et que chez moi j'appelle chef d'oeuvre. Vous qui, bave d'enragés au coin de la lèvre, crachez
vilainies et critiques qui se voudraient humiliantes, qui ne sont en fait que les misérables révélations de votre jalousie pathétique à mon égard, en effet pourquoi être jaloux d'un que vous ne pourrez jamais égaler ? A bon entendeur salut .
Bref, pour faire simple, puisque, bande de grimauds suintant de littérature bornée crasse, c'est vrai que je fais pas mal de fautes, mais le néologisme est une seconde (seconde à la place de première, j'espère que vos petits esprits que j'imagine bien le soir, relire le beschrelle et saluer le drapeau pour être sur de ne rien craindre de la police, et de la foule le matin, en sortant prendre le boulot, devant la taule (merci patron) ou à la caisse à la charcuterie (merci cochon), ont compris cette astucieuse transformation de la bien connue expression française :"c'est une première") (j'avais
déja trouvé Agonir, chantant mieux qu'agoniser, bien que vous ne pouvez en convenir avec moi, vous êtes tellement bornés aux
regles strictes du français ...

)
Bref, pour faire cours disait-je, et ô combien est ce difficile de réduire au plus simple sans y arracher toute la force d'un français plus que parfait qui imprègne chacune de mes phrases, je conçois que la faute peut
trainer sur mes textes, puisqu'ils ne sont jamais revus ni travaillés ...